.jpg?w=1)
Details
JEAN-PIERRE GIBRAT
LE VOL DU CORBEAU, DUPUIS 2015
Couverture de l’intégrale. Signée. Encre de Chine et encres de couleur sur papier
77,3 X 55,2 CM (30,43 X 21,73 IN.)
Superbe couverture de l’édition intégrale du mythique Vol du Corbeau. Comme à son habitude, Jean-Pierre Gibrat illustre un épisode de la Libération de Paris en août 1944, dans une scène vibrante de réalisme et de vie, et avec un soin tout particulier apporté aux détails. Tout y est : la sublime Jeanne en infirmière au premier plan regarde le spectateur, tandis que derrière elle éclot la rébellion et s’organisent les résistants, dans un Paris aux élégants bâtiments flanqués de barricades de fortune. Nous sommes le long de la Seine, en plein été, la lumière filtre à travers le feuillage des platanes. Ce jeu de lumière virtuose, ces regards déterminés, dans une composition où se croisent les lignes de fuite et où les plans se superposent, saisissent un instant glorieux de l’histoire.
La composition soignée annonce d’emblée la couleur du récit. Elle fait la part belle aux combattants, lancés à corps perdu dans la libération de leur ville. C’est sous le regard des citoyens, de la Résistance, que ce moment clé de la guerre nous sera dépeint.
Paris outragé, Paris brisé, Paris martyrisé, Paris libéré, certes mais aussi, sous le crayon de Gibrat, Paris magnifié !
LE VOL DU CORBEAU, DUPUIS 2015
Couverture de l’intégrale. Signée. Encre de Chine et encres de couleur sur papier
77,3 X 55,2 CM (30,43 X 21,73 IN.)
Superbe couverture de l’édition intégrale du mythique Vol du Corbeau. Comme à son habitude, Jean-Pierre Gibrat illustre un épisode de la Libération de Paris en août 1944, dans une scène vibrante de réalisme et de vie, et avec un soin tout particulier apporté aux détails. Tout y est : la sublime Jeanne en infirmière au premier plan regarde le spectateur, tandis que derrière elle éclot la rébellion et s’organisent les résistants, dans un Paris aux élégants bâtiments flanqués de barricades de fortune. Nous sommes le long de la Seine, en plein été, la lumière filtre à travers le feuillage des platanes. Ce jeu de lumière virtuose, ces regards déterminés, dans une composition où se croisent les lignes de fuite et où les plans se superposent, saisissent un instant glorieux de l’histoire.
La composition soignée annonce d’emblée la couleur du récit. Elle fait la part belle aux combattants, lancés à corps perdu dans la libération de leur ville. C’est sous le regard des citoyens, de la Résistance, que ce moment clé de la guerre nous sera dépeint.
Paris outragé, Paris brisé, Paris martyrisé, Paris libéré, certes mais aussi, sous le crayon de Gibrat, Paris magnifié !
Brought to you by
Victorine d'Arcangues