Lot Essay
FRANCOIS AGERON
Reu maître en 1741, il s'établit place du Pont Saint-Michel, puis quai des Augustins (1747), rue Saint-Louis au Palais (1752), place Dauphine (1763). Il signa de nombreuses pendules et montres. Horloger réputé, il utilisa des caisses de bronziers de renom tels que Jacques et Philippe Caffieri, Jean-Joseph de Saint Germain et Osmond. Ses oeuvres figurèrent chez la marquise de Montesquiou, mademoiselle Laguerre, les ducs des Deux-Ponts et de Rohan, le marquis de Dupleix, gouverneur des Indes Françaises et M. Bonnemet.
Certaines sont conservées dans les plus importantes collections publiques telles que le Musée des Arts Décoratifs, le Louvre, la Residenz Munich ou le musée des Beaux-Arts de Boston. Comme beaucoup des plus grands horlogers, il travailla avec les meilleurs bronziers tels que Jacques Caffieri, Jean-Joseph de Saint-Germain ou Balthazar Lieutaud.
Reu maître en 1741, il s'établit place du Pont Saint-Michel, puis quai des Augustins (1747), rue Saint-Louis au Palais (1752), place Dauphine (1763). Il signa de nombreuses pendules et montres. Horloger réputé, il utilisa des caisses de bronziers de renom tels que Jacques et Philippe Caffieri, Jean-Joseph de Saint Germain et Osmond. Ses oeuvres figurèrent chez la marquise de Montesquiou, mademoiselle Laguerre, les ducs des Deux-Ponts et de Rohan, le marquis de Dupleix, gouverneur des Indes Françaises et M. Bonnemet.
Certaines sont conservées dans les plus importantes collections publiques telles que le Musée des Arts Décoratifs, le Louvre, la Residenz Munich ou le musée des Beaux-Arts de Boston. Comme beaucoup des plus grands horlogers, il travailla avec les meilleurs bronziers tels que Jacques Caffieri, Jean-Joseph de Saint-Germain ou Balthazar Lieutaud.