Lot Essay
Cf. : Aaron Lederfajn et Xavier Lenormand, 1930, quand le meuble devient sculpture, id., p. 1 pour le même modèle en ébène de macassar, ivoire et galuchat ;
Florence Camard, Ruhlmann, id., p. 67 pour la photographie sus-citée ;
Ruhlmann : Genius of Art Deco, id., p. 165 pour le même modèle en loupe d'amboine ;
Florence Camard, Jacques-Emile Ruhlmann, id., p. 127 pour un projet d'étude de boudoir illustrant un modèle similaire
La coiffeuse référencée sous le numéro 1508 (Nouveau Référencier) dans les archives Ruhlmann, conservées au Musée des Années Trente, Boulogne-Billancourt.
Le siège référencé sous le numéro 14 (Ancien Référencier) et 58 (Nouveau Référencier) dans les archives Ruhlmann, conservées au Musée des Années Trente, Boulogne-Billancourt.
'Colonnettes' est une des premières coiffeuses conçues par Ruhlmann. Il en expose le premier exemplaire, en placage d'ébène de Macassar à tapis frangé marqueté d'ivoire, au Xème Salon des Artistes Décorateurs, Paris, mars-avril 1919. Ce meuble dont le modèle est publié en janvier 1920 dans la revue Art et Décoration, fera l'objet de plusieurs variantes. On en connaçt un réalisé en loupe d'amboine, le tapis à motif de cailloutis en ivoire et ébène, ainsi qu'une variante au tapis non frangé, le miroir circulaire, souligné d'un filet en ivoire finissant en volute, sur un pied plein arrière sculpté en forme de vasque. Certaines présentent un tapis en galuchat et ivoire.
Désireux de développer sa clientèle, Ruhlmann organise en mai 1920 une exposition intitulée 'Chambre-boudoir de jeune fille ou de jeune femme', dans son hôtel, rue de Lisbonne, où ce modèle sera mis en scène.
Quintessence de l'écriture formelle de Ruhlmann, cette coiffeuse en est certainement une des expressions les plus abouties et les plus précieuses : la sobriété de son dessin d'ensemble, jeu de courbes et de droites s'emboçtant, est contrebalancée par la préciosité des matières et leur traitement, dans un extrême souci du détail.
Florence Camard, Ruhlmann, id., p. 67 pour la photographie sus-citée ;
Ruhlmann : Genius of Art Deco, id., p. 165 pour le même modèle en loupe d'amboine ;
Florence Camard, Jacques-Emile Ruhlmann, id., p. 127 pour un projet d'étude de boudoir illustrant un modèle similaire
La coiffeuse référencée sous le numéro 1508 (Nouveau Référencier) dans les archives Ruhlmann, conservées au Musée des Années Trente, Boulogne-Billancourt.
Le siège référencé sous le numéro 14 (Ancien Référencier) et 58 (Nouveau Référencier) dans les archives Ruhlmann, conservées au Musée des Années Trente, Boulogne-Billancourt.
'Colonnettes' est une des premières coiffeuses conçues par Ruhlmann. Il en expose le premier exemplaire, en placage d'ébène de Macassar à tapis frangé marqueté d'ivoire, au Xème Salon des Artistes Décorateurs, Paris, mars-avril 1919. Ce meuble dont le modèle est publié en janvier 1920 dans la revue Art et Décoration, fera l'objet de plusieurs variantes. On en connaçt un réalisé en loupe d'amboine, le tapis à motif de cailloutis en ivoire et ébène, ainsi qu'une variante au tapis non frangé, le miroir circulaire, souligné d'un filet en ivoire finissant en volute, sur un pied plein arrière sculpté en forme de vasque. Certaines présentent un tapis en galuchat et ivoire.
Désireux de développer sa clientèle, Ruhlmann organise en mai 1920 une exposition intitulée 'Chambre-boudoir de jeune fille ou de jeune femme', dans son hôtel, rue de Lisbonne, où ce modèle sera mis en scène.
Quintessence de l'écriture formelle de Ruhlmann, cette coiffeuse en est certainement une des expressions les plus abouties et les plus précieuses : la sobriété de son dessin d'ensemble, jeu de courbes et de droites s'emboçtant, est contrebalancée par la préciosité des matières et leur traitement, dans un extrême souci du détail.