Masque miniature
Miniature mask
ƒ: In addition to the regular Buyer’s premium, a c… Read more
Masque miniatureMiniature mask

Bas-Sépik, Papouasie Nouvelle-Guinée

Details
Masque miniature
Miniature mask
Bas-Sépik, Papouasie Nouvelle-Guinée
Hauteur: 34 cm. (13 ½ in.)
Provenance
Probablement collecté par le Professeur Preuss, directeur de la Neuguinea-compagnie
Acquis auprès de ce dernier par Geheimrat Leopold Robert Peill (1846-1925) en 1912 à Friedrich Wilhelms-Hafen (aujourd’hui Madang)
Donné au musée Rautenstrauch-Joest Museum de Cologne en 1933 par la veuve de Geheimrat Leopold Robert Peill
Acquis par échange par Loed Van Bussel en 1967
Thomas Murray, Californie
Collection privée, acquis auprès de ce dernier
Special Notice
ƒ: In addition to the regular Buyer’s premium, a commission of 5.5% inclusive of VAT of the hammer price will be charged to the buyer. It will be refunded to the Buyer upon proof of export of the lot outside the European Union within the legal time limit. (Please refer to section VAT refunds)
Sale Room Notice
Ce masque provient certainement de Singrin, milieu ou bas Sepik, Papouasie Nouvelle-Guinée

La provenance de ce masque est certainement:
Collecté par le Professeur Preuss, directeur de la Neuguinea-compagnie
Acquis auprès de ce dernier par Geheimrat Leopold Robert Peill (1846-1925) en 1912 à Friedrich Wilhelms-Hafen (aujourd’hui Madang)
Donné au musée Rautenstrauch-Joest Museum de Cologne en 1933 par la veuve de Geheimrat Leopold Robert Peill
Acquis par échange par Loed Van Bussel en 1967
Thomas Murray, Californie
Collection privée, acquis auprès de ce dernier

This mask probably comes from Singrin, Lower or Middle Sepik, Papua New-Guinea

The provenance of this mask is probably:
Collected by Professor Preuss, director of the Neuguinea-compagnie
Acquired from the above by Geheimrat Leopold Robert Peill (1846-1925) in1912 at Friedrich Wilhelms-Hafen (now Madang)
Gift of the widow of Geheimrat Leopold Robert Peill to the Rautenstrauch-Joest Museum of Cologne in 1933
Acquired by exchange bythe dealer Loed Van Bussel in 1967
Thomas Murray, California
Private collection, acquired from the above

Lot Essay

D'après Bounoure (2009), les cérémonies et les festivités organisées dans les maisons des hommes étaient l'occasion de faire résonner de grands tambours horizontaux et "les flûtes sacrées formant paires de taille inégale et sonnant différemment, l'une mâle, l'autre femelle, et jouées simultanément. Dans les villages de l'embouchure du Sépik et des lacs Murik, on attachait à chacune de ces flûtes une masquette en bois sculpté, figurant un visage mi-humain/mi-animal orné de houppes de fibres, de plumes et de pendeloques". Il précise également que le front de ces masquettes présente souvent une figuration d'oiseau ou d'un autre animal. Voir Bounoure (op.cit., fig 235) pour un masque comparable acquis par l'Université de Gand auprès du musée de Berlin en 1905.

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