.jpg?w=1)
Details
JACQUES MARTIN
ALIX
L’EMPEREUR DE CHINE (T.17), CASTERMAN 1983
Planche originale n° 43, prépubliée dans le journal Tintin n° 386 du 1er février 1983.
Signée. Encre de Chine et mine de plomb sur papier
36,4 × 48,4 cm (14,33 × 19,06 in.)
Au Ier siècle avant J-C, pour les Romains, les connaissances sur la Chine relèvent encore de la légende. Les rares émissaires étrangers sont toujours reçus par un officier de la cour. Comme souvent dans la série, Jacques Martin se plaît à confronter Alix à l’empereur Xuandi, qui le reçoit en personne. Derrière le goût de l’artiste pour les postures hiératiques, la précision de son trait pour rendre le luxe des étoffes et son remarquable souci du détail, Alix et Enak découvrent avec horreur la justice vindicative de leur hôte. Les événements s’enchaînent à un rythme effréné et la tension dramatique atteint son paroxysme dans la glaçante case finale, qui sera d’ailleurs réutilisée pratiquement à l’identique pour la couverture de l’album.
ALIX
L’EMPEREUR DE CHINE (T.17), CASTERMAN 1983
Planche originale n° 43, prépubliée dans le journal Tintin n° 386 du 1er février 1983.
Signée. Encre de Chine et mine de plomb sur papier
36,4 × 48,4 cm (14,33 × 19,06 in.)
Au Ier siècle avant J-C, pour les Romains, les connaissances sur la Chine relèvent encore de la légende. Les rares émissaires étrangers sont toujours reçus par un officier de la cour. Comme souvent dans la série, Jacques Martin se plaît à confronter Alix à l’empereur Xuandi, qui le reçoit en personne. Derrière le goût de l’artiste pour les postures hiératiques, la précision de son trait pour rendre le luxe des étoffes et son remarquable souci du détail, Alix et Enak découvrent avec horreur la justice vindicative de leur hôte. Les événements s’enchaînent à un rythme effréné et la tension dramatique atteint son paroxysme dans la glaçante case finale, qui sera d’ailleurs réutilisée pratiquement à l’identique pour la couverture de l’album.
Brought to you by
Emilie Fabre