GUSTAVE MIKLOS (1888-1967)
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GUSTAVE MIKLOS (1888-1967)

Figure, pièce unique, 1921

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GUSTAVE MIKLOS (1888-1967)
Figure, pièce unique, 1921
Cuivre repoussé et patiné, le cadre d'origine en frêne et tilleul blanc peint / patinated and repoussé copper, the original frame in ash and painted white basswood
53,5 x 27,5 cm (encadré) / 21 x 10 ¾ in (framed)
Signé G. MIKLOS et daté 21 en bas à droite et signé une seconde fois G. MIKLOS en bas à gauche
Literature
Pour notre exemplaire :
D. Cichocka, Gustave Miklos. Le moderniste byzantin. Catalogues raisonnés : sculpture, Arts Décoratifs, peintures. Vol. 2, éditions Fata Libelli, Paris, 2014, p. 33.
Exhibited
Pour notre exemplaire :
Émaux champlevés et métaux par Gustave Miklos, Galerie L'Effort Moderne, Paris, 31 janvier-23 février 1923.
Special Notice
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Further Details
A son retour de la guerre à Paris en 1919, Gustav Miklos fréquente l'atelier de laque Brugier puis celui de Jean Dunand où il s'exerce à la technique du métal repoussé. À partir de 1921, il réalise ses premiers panneaux de cuivre montés sur bois, représentant principalement des figures ou visages de femmes. On retrouve l'influence du cubisme, de l'art byzantin et de l'africanisme dans ses visages hiératiques, étirés, idéaux dont le regard inexpressif semble plongé dans une profonde méditation. Ses plaques sont cloutées et retenues par des tasseaux en relief qui font partie intégrante du décor et renforcent leur verticalité dramatique.
En 1923, Miklos expose 51 pièces à la galerie de L'Effort moderne/Léonce Rosenberg, rue de la Baume, dont ce panneau. C'est l'une des galeries les plus influentes pour l'art moderne de l'époque et cette exposition monographique témoigne des espoirs que l'on place en lui. Miklos rencontre alors la plupart de ses futurs clients, notamment l'illustre mécène Jacques Doucet.

On his return to Paris after the war in 1919, Gustav Miklos attended Brugier’s lacquer studio and then Jean Dunand’s where he learned the technique of repoussé metalwork. From 1921 onwards, he created his first wood-mounted copper panels, most of them depicting female figures or faces. They show the influence of Cubism, Byzantine and African art, ideals whose inexpressiveness seems plunged in deep meditation. His plaques are nailed and held down by struts in relief forming an integral part of the décor and emphasising their dramatic verticality.
In 1923, Miklos exhibited 51 pieces at the Léonce Rosenberg Effort Moderne gallery in Rue de la Baume, including this panel. L'Effort Moderne was one of the most influential modern art galleries of the time and this monographic exhibition shows how much hope was placed in Miklos. He found most of his future buyers there, particularly the famous art patron Jacques Doucet.

Brought to you by

Flavien Gaillard
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