Lot Essay
Cette œuvre est référencée dans les Archives Jean-Marie Cusinberche sur Georges Mathieu.
« La peinture, c’est un vouloir, ce n’est plus un faire. La toile est fouettée, bousculée, sabrée ; la couleur gicle, fuse, transperce, virevolte, monte, s’écrase. L’artisanat, le fini, le léché des idéaux grecs, tout cela est mort ». Georges Mathieu
“Painting is a will, it is no longer a do. The canvas is whipped, jostled, sabred; the color spurts, flies, pierces, twirls, rises, crashes. The craftsmanship, the finish, the meticulousness of Greek ideals, all that is dead.” Georges Mathieu
« La peinture, c’est un vouloir, ce n’est plus un faire. La toile est fouettée, bousculée, sabrée ; la couleur gicle, fuse, transperce, virevolte, monte, s’écrase. L’artisanat, le fini, le léché des idéaux grecs, tout cela est mort ». Georges Mathieu
“Painting is a will, it is no longer a do. The canvas is whipped, jostled, sabred; the color spurts, flies, pierces, twirls, rises, crashes. The craftsmanship, the finish, the meticulousness of Greek ideals, all that is dead.” Georges Mathieu