Lot Essay
From the 1960s with paper works directly borrowed from real structures, to the 1980s with masks in bronze, marble, stone or paper, including the 1970’s, during which the artist concentrated mainly on panel ensembles, this collection of collages is perfectly representative of Robert Courtright's work.
Between his native America and France, where he lived for several years, the artist settled in Rome in 1953. There, he drew great inspiration: the architecture and antique buildings in faded pastel colours that he discovered manifested themselves in watercolours of diluted greys and in oils of shaded pinks on paper.
Halfway between painting and sculpture, Courtright's work takes on the appearance of architecture with a signature mark, figure or character, here and there. Combining textures and colours, collages and cut-outs, the artist creates a dialogue around the circle and the square. Based on a grid that is both strict and repetitive, aligned and arranged, he sets forth a great variety of shapes and colours in his collages. Each element stands alone and seems to float, like pieces of a puzzle that could be interchanged. And as the artist and critic J. Bowyer Bell writes: “The grid blends into the whole, colour moves across the surface, differences in intensity appear... an image emerges from the squares, from the object. There is nothing minimal, nothing cold, nothing like exercise in the ultimate image. Each one is an adventure for the eye.”
First exhibited in 1950 in New York, the name Courtright now resonates internationally, notably at the Dutko Gallery, which devoted a retrospective to him in 2013, but also in important collections such as those of the Metropolitan Museum of Art (New York), the Phillips Collection (Washington, D.C.), the Thyssen-Bornemisza Museum (Lugano), the Musée d'Art Contemporain de Nice (France) and the San Francisco Museum of Modern Art.
Allant des années 1960 avec des papiers directement emprunts de structures réelles jusqu’aux années 1980 avec des masques en bronze, marbre, pierre ou papier, en passant par les années 1970 lors desquelles l’artiste se concentre essentiellement sur des œuvres sur panneaux, cet ensemble de collages est parfaitement représentatif de l’Œuvre de Robert Courtright.
Entre l’Amérique dont il est originaire et la France où il vit quelques années, l’artiste s’installe à Rome en 1953. Il y puise une grande inspiration : l’architecture et les immeubles aux couleurs pastel délavé qu’il y trouve se manifestent alors dans des aquarelles de gris dilués et dans des huiles de roses nuancés sur papiers.
A mi-chemin entre peinture et sculpture, le travail de Courtright prend des allures d’architecture avec ici et là, une marque de signature, une figure ou un personnage. Combinant textures et couleurs, collages et découpages, l’artiste créé un dialogue autour du rond et du carré. Basé sur une grille à la fois stricte et répétitive, alignée et rangée, il laisse chanter une grande variété de formes et de couleurs dans ses collages. Chaque élément réside indépendant et semble comme flottant, à l’image de pièces d’un puzzle que l’on pourrait interchanger. Et comme l’écrit l’artiste et critique. J. Bowyer Bell : « La grille se fond dans l'ensemble, la couleur se déplace sur la surface, des différences d'intensité apparaissent... une image surgit des carrés, de l'objet. Il n'y a rien de minimal, rien de froid, rien comme exercice dans l'image ultime. Chacune est une aventure pour l'œil ».
Exposée pour la première fois en 1950 à New York, le nom Courtright résonne aujourd’hui à l’international ; notamment à la Galerie Dutko qui lui consacre une rétrospective en 2013, mais aussi dans d’importantes collections telles que celles du Metropolitan Museum of Art (New York), de la Phillips Collection (Washington, D.C.), du Musée Thyssen Bornemisza (Lugano), du Musée d'art contemporain de Nice (France) ou encore du San Francisco Museum of Modern Art.
Between his native America and France, where he lived for several years, the artist settled in Rome in 1953. There, he drew great inspiration: the architecture and antique buildings in faded pastel colours that he discovered manifested themselves in watercolours of diluted greys and in oils of shaded pinks on paper.
Halfway between painting and sculpture, Courtright's work takes on the appearance of architecture with a signature mark, figure or character, here and there. Combining textures and colours, collages and cut-outs, the artist creates a dialogue around the circle and the square. Based on a grid that is both strict and repetitive, aligned and arranged, he sets forth a great variety of shapes and colours in his collages. Each element stands alone and seems to float, like pieces of a puzzle that could be interchanged. And as the artist and critic J. Bowyer Bell writes: “The grid blends into the whole, colour moves across the surface, differences in intensity appear... an image emerges from the squares, from the object. There is nothing minimal, nothing cold, nothing like exercise in the ultimate image. Each one is an adventure for the eye.”
First exhibited in 1950 in New York, the name Courtright now resonates internationally, notably at the Dutko Gallery, which devoted a retrospective to him in 2013, but also in important collections such as those of the Metropolitan Museum of Art (New York), the Phillips Collection (Washington, D.C.), the Thyssen-Bornemisza Museum (Lugano), the Musée d'Art Contemporain de Nice (France) and the San Francisco Museum of Modern Art.
Allant des années 1960 avec des papiers directement emprunts de structures réelles jusqu’aux années 1980 avec des masques en bronze, marbre, pierre ou papier, en passant par les années 1970 lors desquelles l’artiste se concentre essentiellement sur des œuvres sur panneaux, cet ensemble de collages est parfaitement représentatif de l’Œuvre de Robert Courtright.
Entre l’Amérique dont il est originaire et la France où il vit quelques années, l’artiste s’installe à Rome en 1953. Il y puise une grande inspiration : l’architecture et les immeubles aux couleurs pastel délavé qu’il y trouve se manifestent alors dans des aquarelles de gris dilués et dans des huiles de roses nuancés sur papiers.
A mi-chemin entre peinture et sculpture, le travail de Courtright prend des allures d’architecture avec ici et là, une marque de signature, une figure ou un personnage. Combinant textures et couleurs, collages et découpages, l’artiste créé un dialogue autour du rond et du carré. Basé sur une grille à la fois stricte et répétitive, alignée et rangée, il laisse chanter une grande variété de formes et de couleurs dans ses collages. Chaque élément réside indépendant et semble comme flottant, à l’image de pièces d’un puzzle que l’on pourrait interchanger. Et comme l’écrit l’artiste et critique. J. Bowyer Bell : « La grille se fond dans l'ensemble, la couleur se déplace sur la surface, des différences d'intensité apparaissent... une image surgit des carrés, de l'objet. Il n'y a rien de minimal, rien de froid, rien comme exercice dans l'image ultime. Chacune est une aventure pour l'œil ».
Exposée pour la première fois en 1950 à New York, le nom Courtright résonne aujourd’hui à l’international ; notamment à la Galerie Dutko qui lui consacre une rétrospective en 2013, mais aussi dans d’importantes collections telles que celles du Metropolitan Museum of Art (New York), de la Phillips Collection (Washington, D.C.), du Musée Thyssen Bornemisza (Lugano), du Musée d'art contemporain de Nice (France) ou encore du San Francisco Museum of Modern Art.