拍品專文
Ce type de sculpture servait autrefois à encadrer l'entrée des cases importantes. La légère courbure de la pièce de bois répondait ainsi à la forme circulaire des cases calédoniennes. Le visage sculpté en bas-relief sur le registre supérieur du chambranle est, d'après Sarasin (1929), une représentation d'ancêtres ou d'esprits d'ancêtres. A la mort d'un homme, ses biens et notamment sa case sont détruits. Cette coutume nous éclaire sur la grande rareté des chambranles kanak, gardiens symboliques de la maison calédonienne.