TABLE A ECRIRE DE LA FIN DE L'EPOQUE LOUIS XV
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TABLE A ECRIRE DE LA FIN DE L'EPOQUE LOUIS XV

ATTRIBUEE A ANDRE-LOUIS GILBERT, VERS 1770

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TABLE A ECRIRE DE LA FIN DE L'EPOQUE LOUIS XV
ATTRIBUEE A ANDRE-LOUIS GILBERT, VERS 1770
En placage et marqueterie d'amarante et de houx teinté vert, ornementation de bronze ciselé et doré, le plateau coulissant de forme rectangulaire chantournée en partie regainé d'un cuir brun doré aux petits-fers et encadré d'une frise de plates bandes entremêlées, formant coiffeuse découvrant un tiroir ouvrant par trois vantaux dont un orné d'un miroir, la ceinture à décor de scènes de villages et de châteaux reposant sur des pieds galbés
H.: 73 cm. (28 ¾ in.) ; L.: 88 cm. (34 ½ in.) ; P.: 48 cm. (19 in.)
Provenance
Vente Me Martin, Versailles, 23 juin 1974.
Literature
Bibliographie:
P. Kjellberg, Le mobilier français du XVIIIe siècle, Paris, 1989, p. 356 (ill.).
Special Notice
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Further Details
A LATE LOUIS XV ORMOLU-MOUNTED MARQUETRY WRITING TABLE, ATTRIBUTED TO ANDRE-LOUIS GILBERT, CIRCA 1770

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Margaux Zoi
Margaux Zoi

Lot Essay

André Louis Gilbert (1746-1809) est reçu à la maîtrise le 20 juillet 1774. Il débute sa carrière rue Traversière puis, en 1785, déplace son atelier rue du Faubourg-Saint-Antoine. Quatre ans plus tard il prend part à la Révolution, date à laquelle son activité semble s’arrêter. Spécialiste des meubles de style Transition nous lui connaissons aujourd’hui un certain nombre de commodes et de secrétaires. De structures toujours élégantes et classiques ses œuvres se caractérisent par des marqueteries de bois teintés de manière originale. Elles se composent principalement de paysages lacustres, de vues de villes et de villages, souvent incrustés de nacre, encadrés d’amarante et parfois ornés d’une fine ornementation de bronze comme notre présente table mécanique illustrée dans l’ouvrage de P. Kjellberg, Le Mobilier français au XVIIIème siècle, Paris, 1989, p. 357.

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