拍品专文
Célébrer une valeur sûre (53ème Biennale d'Art Contemporain de Venise juin - novembre 2009)
L'Espagne annonce clairement la couleur dans son communiqué de presse : montrer les oeuvres récentes du plus grand artiste espagnol vivant de réputation internationale, en l'occurrence, le peintre et céramiste post-moderniste Miguel Barcelo.
Au pavillon espagnol, pas d' installation (quoique), de la vraie peinture et au-delà. Barcelo, qui aime la peinture-matière comme personne, la projette sur des toiles avec un canon peinture de sa création. Ecailles, filets, coulures, stalactites sont impressionnants et dégagent parfois des formes insolites comme celle dun gorille ou des paysages, des animaux marins, etc.
S'agissant des peintures de grand format, elles sont fortement sous influence africaine, et plus précisment du Mali où réside régulièrement Miguel Barcelo, et s'inscrivent dans la continuité des voies qu'il a déjà explorées, l'art rupestre, l'abstraction et le "minimalisme désertique". Incontournable, le gorille, métaphore de la solitude de l'artiste et de la désaffection de la peinture comme art majeur.
L'Espagne annonce clairement la couleur dans son communiqué de presse : montrer les oeuvres récentes du plus grand artiste espagnol vivant de réputation internationale, en l'occurrence, le peintre et céramiste post-moderniste Miguel Barcelo.
Au pavillon espagnol, pas d' installation (quoique), de la vraie peinture et au-delà. Barcelo, qui aime la peinture-matière comme personne, la projette sur des toiles avec un canon peinture de sa création. Ecailles, filets, coulures, stalactites sont impressionnants et dégagent parfois des formes insolites comme celle dun gorille ou des paysages, des animaux marins, etc.
S'agissant des peintures de grand format, elles sont fortement sous influence africaine, et plus précisment du Mali où réside régulièrement Miguel Barcelo, et s'inscrivent dans la continuité des voies qu'il a déjà explorées, l'art rupestre, l'abstraction et le "minimalisme désertique". Incontournable, le gorille, métaphore de la solitude de l'artiste et de la désaffection de la peinture comme art majeur.