拍品专文
Nous remercions Monsieur Jean-Marie Cusinberche pour les informations qu'il nous a aimablement communiquées sur cette oeuvre.
Two years earlier, the Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris had hosted that famous retrospective - 'an exceptional event for a living painter' declared the Press - of the works of Georges Mathieu, aged 42. It included 95 paintings and 27 drawings, watercolours and gouaches, from 1944 to 1963.
Marie-Claude Dane, curator and organizer of the retrospective, described the story of this achievement in the catalogue: 'His work [for the exhibition] was completely characteristic of Mathieu's usual behaviour. Decided on barely a month before the only possible date, if we wanted it to be this year, and 48 hours before the artist was setting off on a two-week trip to Canada - where an important exhibition awaited him at which he was due, as he usually does, to produce his paintings in situ - everything needed to be organized in two days.
And it was. The draft version of the catalogue was drawn up, the poster designed, the investors gave their agreement by telephone, transportation was arranged (). There was hardly anything left to do but choose the dimensions and order the stretcher for the large canvass which was due to be produced for the exhibition and whose title needed to be decided in advance so that it could appear in the catalogue.'
These are the circumstances surrounding the creation of LA VICTOIRE DE DENAIN, measuring 2.75m x 7m, signed, located and dated 'Mathieu/Paris/26th March 1963', which was produced in two hours and 15 minutes. The private opening was held the following day at 3pm!
A further challenge for Mathieu - and it was a challenge - came in 1965 when he accepted an invitation from Raymond Nacenta, director of the Galerie Charpentier, opposite the Élyseé Palace, to exhibit 100 paintings - all recent!
On 24th July, 1965, Georges Mathieu wrote to the Libyan poet and playwright Georges Schehad (1905-1969): I have some important news to tell you and a big request to ask of you. The Galerie Charpentier has asked me to exhibit 100 recent paintings at the end of September and the director wants the introduction to be written by a poet. This poet can only be you
The poet entitled his preface: 'La Patrie des Tableaux' (The homeland of paintings).
Mathieu named most of the 120 paintings he produced for this exhibition after a town or village in the Ile-de-France which, for the first Capetian king Hugh Capet, was the whole of France (ORLY, CHANTILLY, MAISONS-LAFFITTE, etc.) and his gouaches after a château (CHÂTEAU DE FLEURY, CHÂTEAU DE LA REINE BLANCHE, etc.). He wanted to place all these works under the auspices of a 'flagship painting' which would be an assertion, an ambition, an exhortation and a profession of artistic faith: PARIS, CAPITALE DES ARTS. 1965, 3m x 9m, produced four days before the private opening!
In response to the advice of his dealers, who were anxious about its size and how it would affect sales, Mathieu responded in his inimitable way: I have decided to become truly independent and to finish with all the American and European dealers. I shall now assume my own destiny.
VAIRES. 1965 takes its name from Vaires-sur-Marne, a town in the Seine-et-Marne department. It appeared in the Galerie Charpentier catalogue as number 118.
Is this work not reminiscent, like Varse's or Xenakis's mathematical variations, of the score for the new pictorial writing invented, unveiled and named by Mathieu, in 1947, 'Lyrical Abstraction'? Its abstract symbols are made even more emotive by the fact that they are totally improvised, with an absence of any reference to the work's speed of execution.
The small red diagonal represents the overall direction of the work and sets the tempo: the music harmonizes the internal vibrations.
Is this work the 'Floating image' of a ZEN garden somewhere on Earth, 'blue like an orange'? On this azure field of mystic serenity, the golden gravel bears the harmonious traces of the rake, occasionally revealing the complex arrangements of volcanic rocks, the mineral aspect of this dry garden intended for calm and contemplation.
Towards the middle, in red, a piece of bamboo, like the needle of a celestial compass, adds to the decoration while helping to concentrate the energies.
Could this painting resemble the configuration of an electronic motherboard, a symbol of business and all communications in our advanced societies? The image's main components reveal the various sockets, chipsets, memory slots, connectors and associated processors. A diagonal red strip is called the RAM, the random access memory for all programmes.
Which version prevails?
For Mathieu, who often quoted T.S. Eliot: 'The moment an idea has been transferred from its pure state in order that it may become comprehensible to the average intelligence, it has lost contact with art.'
All that remains is for us to climb the banks of meditation, as VAIRES.1965, work of abstract art, encourages us - or invites us - to?
Jean-Marie CUSINBERCHE
Deux ans plus tôt, au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, il y avait eu cette fameuse rétrospective - "fait exceptionnel pour un peintre vivant", relata la Presse - des oeuvres de Georges Mathieu, 42 ans : 95 toiles et 27 dessins, aquarelles et gouaches, de 1944 à 1963.
Marie-Claude Dane, conservatrice et commissaire de la rétrospective ne manqua pas de relater, dans le catalogue, l'aventure de cet exploit: "Sa réalisation [de l'exposition] fut tout à fait caractéristique du comportement habituel de Mathieu. Décidée un mois à peine avant la seule date possible si nous voulions qu'elle ait lieu cette année, et ce, quarante-huit heures avant le départ de l'artiste pour un séjour de deux semaines au Canada où l'attendait une exposition importante dont il devait, ainsi qu'il a coutume de faire, peindre les tableaux sur place, il fallait tout organiser en deux jours. Ce qui fut fait. La maquette du catalogue fut établie, l'affiche dessinée, les prêteurs donnèrent leur acceptation par téléphone, les transports coordonnés (...). A son tour, il ne restait plus guère qu'à choisir les dimensions et commander le châssis de la grande toile qui devait être faite pour notre exposition et dont le titre devait être établi à l'avance pour pouvoir figurer au catalogue".
Notons que c'est dans ces circonstances que naquit LA VICTOIRE DE DENAIN, 2,75 m x 7 mètres, signée, localisée et datée "Mathieu Paris ce 26 mars 1963", réalisée en 2 heures et 15 minutes ; le vernissage avait lieu le lendemain, à partir de 15 heures!
Autre est le défi de Mathieu - mais c'est encore un défi - qui accepte, en 1965, l'invitation de Raymond Nacenta, directeur de la Galerie Charpentier, située face au Palais de l'Elysée, d'y exposer cent toiles... récentes!
Le 24 juillet 1965, Georges Mathieu écrit au poète et dramaturge libanais Georges Schehadé (1905-1969) : J'ai une grande nouvelle à vous annoncer et une grande requête à vous faire. La Galerie Charpentier m'a demandé d'exposer cent toiles récentes fin septembre et son directeur souhaiterait que la présentation soit faite par un poète. Ce poète ne peut être que vous...
Le poète intitulera sa préface : "La patrie des Tableaux".
Mathieu donne à la plupart des 120 tableaux réalisés pour cette exposition le nom d'une ville ou d'un village d'Ile-de-France qui était toute la France du premier roi capétien Hugues Capet (ORLY, CHANTILLY, MAISONS-LAFFITTE...) et à ses gouaches celui d'un château (CHÂTEAU DE FLEURY, CHÂTEAU DE LA REINE BLANCHE...). Il souhaite mettre l'ensemble de ces oeuvres sous la houlette d'une "toile amiral" qui serait à la fois un voeu, une volonté, une exhortation et une profession de foi artistique : PARIS, CAPITALE DES ARTS. 1965, 3 m x 9 mètres, réalisée quatre jours avant le vernissage!
Aux conseils de ses marchands inquiets pour sa cote et leurs affaires, Mathieu répond à sa manière : Je décide de devenir vraiment indépendant et je romps avec tous les marchands américains et européens. J'assumerai désormais mon destin seul.
VAIRES. 1965 tire son nom de Vaires-sur-Marne, commune du département de Seine-et-Marne. Elle porte le no 118 dans le catalogue de la Galerie Charpentier.
Cette oeuvre évoque-t-elle, à la manière des variations mathématiques de Varèse ou Xenakis, la partition musicale de la nouvelle écriture picturale inventée et révélée par Mathieu qu'il nomme "Abstraction lyrique" en 1947? Ces signes font appel directement à l'émotion, étant fondée sur l'improvisation totale, l'absence de toute référence et la vitesse d'exécution de l'opus.
La petite diagonale rouge marque la direction d'ensemble et ordonne le tempo : la musique harmonise les vibrations intérieures.
Cette toile est-elle à "l'image flottante" d'un jardin ZEN, quelque part sur la terre "bleue comme une orange"? Sur ce champ azur de sérénité mystique, le gravier d'or porte les traces harmonieuses du rateau qui met en évidence, ici et là, la disposition complexe des pierres volcaniques, l'élément minéral de ce jardin sec destiné au calme et au recueillement.
Vers le milieu, inscrit en rouge, un élément de bambou, comme l'aiguille d'une boussole céleste, participe à l'ornementation tout en aidant à la concentration des énergies.
Ce tableau pourrait-il rappeler la configuration d'une carte mère électronique, symbole de l'activité et de toutes les communications de nos sociétés avancées ? Les principaux composants, à l'image, font apparaître les différents socket, chipset, slots mémoires, connecteurs et processeur associés.
De biais et en rouge, une barrette nommée la RAM : c'est la mémoire vive de tous les programmes.
Quelle est la version qui prévaut?
Pour Mathieu qui souvent cite le poète T.S. Eliot : Dès qu'une idée a été transférée de son état pur afin de devenir compréhensible à l'intelligence moyenne elle a perdu tout contact avec l'art.
Alors, il nous reste à aborder les rives de la méditation comme VAIRES.1965, oeuvre d'art abstraite, nous y incite - ou nous y invite?
Jean-Marie CUSINBERCHE
Two years earlier, the Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris had hosted that famous retrospective - 'an exceptional event for a living painter' declared the Press - of the works of Georges Mathieu, aged 42. It included 95 paintings and 27 drawings, watercolours and gouaches, from 1944 to 1963.
Marie-Claude Dane, curator and organizer of the retrospective, described the story of this achievement in the catalogue: 'His work [for the exhibition] was completely characteristic of Mathieu's usual behaviour. Decided on barely a month before the only possible date, if we wanted it to be this year, and 48 hours before the artist was setting off on a two-week trip to Canada - where an important exhibition awaited him at which he was due, as he usually does, to produce his paintings in situ - everything needed to be organized in two days.
And it was. The draft version of the catalogue was drawn up, the poster designed, the investors gave their agreement by telephone, transportation was arranged (). There was hardly anything left to do but choose the dimensions and order the stretcher for the large canvass which was due to be produced for the exhibition and whose title needed to be decided in advance so that it could appear in the catalogue.'
These are the circumstances surrounding the creation of LA VICTOIRE DE DENAIN, measuring 2.75m x 7m, signed, located and dated 'Mathieu/Paris/26th March 1963', which was produced in two hours and 15 minutes. The private opening was held the following day at 3pm!
A further challenge for Mathieu - and it was a challenge - came in 1965 when he accepted an invitation from Raymond Nacenta, director of the Galerie Charpentier, opposite the Élyseé Palace, to exhibit 100 paintings - all recent!
On 24th July, 1965, Georges Mathieu wrote to the Libyan poet and playwright Georges Schehad (1905-1969): I have some important news to tell you and a big request to ask of you. The Galerie Charpentier has asked me to exhibit 100 recent paintings at the end of September and the director wants the introduction to be written by a poet. This poet can only be you
The poet entitled his preface: 'La Patrie des Tableaux' (The homeland of paintings).
Mathieu named most of the 120 paintings he produced for this exhibition after a town or village in the Ile-de-France which, for the first Capetian king Hugh Capet, was the whole of France (ORLY, CHANTILLY, MAISONS-LAFFITTE, etc.) and his gouaches after a château (CHÂTEAU DE FLEURY, CHÂTEAU DE LA REINE BLANCHE, etc.). He wanted to place all these works under the auspices of a 'flagship painting' which would be an assertion, an ambition, an exhortation and a profession of artistic faith: PARIS, CAPITALE DES ARTS. 1965, 3m x 9m, produced four days before the private opening!
In response to the advice of his dealers, who were anxious about its size and how it would affect sales, Mathieu responded in his inimitable way: I have decided to become truly independent and to finish with all the American and European dealers. I shall now assume my own destiny.
VAIRES. 1965 takes its name from Vaires-sur-Marne, a town in the Seine-et-Marne department. It appeared in the Galerie Charpentier catalogue as number 118.
Is this work not reminiscent, like Varse's or Xenakis's mathematical variations, of the score for the new pictorial writing invented, unveiled and named by Mathieu, in 1947, 'Lyrical Abstraction'? Its abstract symbols are made even more emotive by the fact that they are totally improvised, with an absence of any reference to the work's speed of execution.
The small red diagonal represents the overall direction of the work and sets the tempo: the music harmonizes the internal vibrations.
Is this work the 'Floating image' of a ZEN garden somewhere on Earth, 'blue like an orange'? On this azure field of mystic serenity, the golden gravel bears the harmonious traces of the rake, occasionally revealing the complex arrangements of volcanic rocks, the mineral aspect of this dry garden intended for calm and contemplation.
Towards the middle, in red, a piece of bamboo, like the needle of a celestial compass, adds to the decoration while helping to concentrate the energies.
Could this painting resemble the configuration of an electronic motherboard, a symbol of business and all communications in our advanced societies? The image's main components reveal the various sockets, chipsets, memory slots, connectors and associated processors. A diagonal red strip is called the RAM, the random access memory for all programmes.
Which version prevails?
For Mathieu, who often quoted T.S. Eliot: 'The moment an idea has been transferred from its pure state in order that it may become comprehensible to the average intelligence, it has lost contact with art.'
All that remains is for us to climb the banks of meditation, as VAIRES.1965, work of abstract art, encourages us - or invites us - to?
Jean-Marie CUSINBERCHE
Deux ans plus tôt, au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, il y avait eu cette fameuse rétrospective - "fait exceptionnel pour un peintre vivant", relata la Presse - des oeuvres de Georges Mathieu, 42 ans : 95 toiles et 27 dessins, aquarelles et gouaches, de 1944 à 1963.
Marie-Claude Dane, conservatrice et commissaire de la rétrospective ne manqua pas de relater, dans le catalogue, l'aventure de cet exploit: "Sa réalisation [de l'exposition] fut tout à fait caractéristique du comportement habituel de Mathieu. Décidée un mois à peine avant la seule date possible si nous voulions qu'elle ait lieu cette année, et ce, quarante-huit heures avant le départ de l'artiste pour un séjour de deux semaines au Canada où l'attendait une exposition importante dont il devait, ainsi qu'il a coutume de faire, peindre les tableaux sur place, il fallait tout organiser en deux jours. Ce qui fut fait. La maquette du catalogue fut établie, l'affiche dessinée, les prêteurs donnèrent leur acceptation par téléphone, les transports coordonnés (...). A son tour, il ne restait plus guère qu'à choisir les dimensions et commander le châssis de la grande toile qui devait être faite pour notre exposition et dont le titre devait être établi à l'avance pour pouvoir figurer au catalogue".
Notons que c'est dans ces circonstances que naquit LA VICTOIRE DE DENAIN, 2,75 m x 7 mètres, signée, localisée et datée "Mathieu Paris ce 26 mars 1963", réalisée en 2 heures et 15 minutes ; le vernissage avait lieu le lendemain, à partir de 15 heures!
Autre est le défi de Mathieu - mais c'est encore un défi - qui accepte, en 1965, l'invitation de Raymond Nacenta, directeur de la Galerie Charpentier, située face au Palais de l'Elysée, d'y exposer cent toiles... récentes!
Le 24 juillet 1965, Georges Mathieu écrit au poète et dramaturge libanais Georges Schehadé (1905-1969) : J'ai une grande nouvelle à vous annoncer et une grande requête à vous faire. La Galerie Charpentier m'a demandé d'exposer cent toiles récentes fin septembre et son directeur souhaiterait que la présentation soit faite par un poète. Ce poète ne peut être que vous...
Le poète intitulera sa préface : "La patrie des Tableaux".
Mathieu donne à la plupart des 120 tableaux réalisés pour cette exposition le nom d'une ville ou d'un village d'Ile-de-France qui était toute la France du premier roi capétien Hugues Capet (ORLY, CHANTILLY, MAISONS-LAFFITTE...) et à ses gouaches celui d'un château (CHÂTEAU DE FLEURY, CHÂTEAU DE LA REINE BLANCHE...). Il souhaite mettre l'ensemble de ces oeuvres sous la houlette d'une "toile amiral" qui serait à la fois un voeu, une volonté, une exhortation et une profession de foi artistique : PARIS, CAPITALE DES ARTS. 1965, 3 m x 9 mètres, réalisée quatre jours avant le vernissage!
Aux conseils de ses marchands inquiets pour sa cote et leurs affaires, Mathieu répond à sa manière : Je décide de devenir vraiment indépendant et je romps avec tous les marchands américains et européens. J'assumerai désormais mon destin seul.
VAIRES. 1965 tire son nom de Vaires-sur-Marne, commune du département de Seine-et-Marne. Elle porte le no 118 dans le catalogue de la Galerie Charpentier.
Cette oeuvre évoque-t-elle, à la manière des variations mathématiques de Varèse ou Xenakis, la partition musicale de la nouvelle écriture picturale inventée et révélée par Mathieu qu'il nomme "Abstraction lyrique" en 1947? Ces signes font appel directement à l'émotion, étant fondée sur l'improvisation totale, l'absence de toute référence et la vitesse d'exécution de l'opus.
La petite diagonale rouge marque la direction d'ensemble et ordonne le tempo : la musique harmonise les vibrations intérieures.
Cette toile est-elle à "l'image flottante" d'un jardin ZEN, quelque part sur la terre "bleue comme une orange"? Sur ce champ azur de sérénité mystique, le gravier d'or porte les traces harmonieuses du rateau qui met en évidence, ici et là, la disposition complexe des pierres volcaniques, l'élément minéral de ce jardin sec destiné au calme et au recueillement.
Vers le milieu, inscrit en rouge, un élément de bambou, comme l'aiguille d'une boussole céleste, participe à l'ornementation tout en aidant à la concentration des énergies.
Ce tableau pourrait-il rappeler la configuration d'une carte mère électronique, symbole de l'activité et de toutes les communications de nos sociétés avancées ? Les principaux composants, à l'image, font apparaître les différents socket, chipset, slots mémoires, connecteurs et processeur associés.
De biais et en rouge, une barrette nommée la RAM : c'est la mémoire vive de tous les programmes.
Quelle est la version qui prévaut?
Pour Mathieu qui souvent cite le poète T.S. Eliot : Dès qu'une idée a été transférée de son état pur afin de devenir compréhensible à l'intelligence moyenne elle a perdu tout contact avec l'art.
Alors, il nous reste à aborder les rives de la méditation comme VAIRES.1965, oeuvre d'art abstraite, nous y incite - ou nous y invite?
Jean-Marie CUSINBERCHE