拍品专文
Cette oeuvre est enregistrée dans les archives de Robert Combas sous le No. 265.
'L'homme seul au seuil de l'eau regarde, scrute, admire, réfléchit. Il imagine une forme humaine mi-noyée, mi-nagée qui lui ferait des signes comme pour l'appeler comme les sirènes au temps des grecs et de la mer Égée. Mais vite son imagination se perd dans le manque disciplinaire de son cerveau. Il regarde trop le ciel, les étoiles, la voie lactée, un soleil qui réfléchit luit plus sérieusement ou qui en a l'air en tout cas. Il fait bon et la lune est un croissant doré, c'est le moment de délirer et de pêcher avec les yeux des gros poissons hallucinés.' (Robert Combas)
'L'homme seul au seuil de l'eau regarde, scrute, admire, réfléchit. Il imagine une forme humaine mi-noyée, mi-nagée qui lui ferait des signes comme pour l'appeler comme les sirènes au temps des grecs et de la mer Égée. Mais vite son imagination se perd dans le manque disciplinaire de son cerveau. Il regarde trop le ciel, les étoiles, la voie lactée, un soleil qui réfléchit luit plus sérieusement ou qui en a l'air en tout cas. Il fait bon et la lune est un croissant doré, c'est le moment de délirer et de pêcher avec les yeux des gros poissons hallucinés.' (Robert Combas)