拍品专文
'Vous avez certainement assez de lieux de travail, avec des ateliers en Toscane aussi bien qu'à New York et Paris. Où vous sentez-vous le plus à l'aise ?
Je suis à l'aise partout. Trois ou quatre mois en Italie, trois ou quatre aux États-Unis, trois ou quatre en France : c'est mon rythme. Je dois être un peu nomade. Ou quelqu'un de cosmopolite, si vous préférez. Mais c'est sans aucun doute à Paris que je trouve la plus belle lumière - en tous cas, le genre de lumière qui me convient le mieux : à la fois douce et filtrée. "
Fernando Botero, interview avec Philippe Cruysmans, cité in Collectif, Fernando Botero - Monograph & Catalogue Raisonné. Paintings 1975-1990, Lausanne, 2004, p. 151)
'You certainly have enough work sites, with studios in Tuscany as well as in New York and Paris. Where do you feel most comfortable?
I feel at ease everywhere. Three or four months in Italy, three or four in the States, three or four in France: that's the rhythm I keep. I must be part nomad. Or a cosmopolitan person, if you prefer. But it is undoubtedly in Paris that I find the most beautiful light - in any case, the kind of light that suits me best: at once soft and filtered.'
Fernando Botero, interview with Philippe Cruysmans, in Collectif, Fernando Botero - Monograph & Catalogue Raisonné. Paintings 1975-1990, Lausanne, 2004, p. 151)
Je suis à l'aise partout. Trois ou quatre mois en Italie, trois ou quatre aux États-Unis, trois ou quatre en France : c'est mon rythme. Je dois être un peu nomade. Ou quelqu'un de cosmopolite, si vous préférez. Mais c'est sans aucun doute à Paris que je trouve la plus belle lumière - en tous cas, le genre de lumière qui me convient le mieux : à la fois douce et filtrée. "
Fernando Botero, interview avec Philippe Cruysmans, cité in Collectif, Fernando Botero - Monograph & Catalogue Raisonné. Paintings 1975-1990, Lausanne, 2004, p. 151)
'You certainly have enough work sites, with studios in Tuscany as well as in New York and Paris. Where do you feel most comfortable?
I feel at ease everywhere. Three or four months in Italy, three or four in the States, three or four in France: that's the rhythm I keep. I must be part nomad. Or a cosmopolitan person, if you prefer. But it is undoubtedly in Paris that I find the most beautiful light - in any case, the kind of light that suits me best: at once soft and filtered.'
Fernando Botero, interview with Philippe Cruysmans, in Collectif, Fernando Botero - Monograph & Catalogue Raisonné. Paintings 1975-1990, Lausanne, 2004, p. 151)