拍品專文
Cf. : Paul Reboux, Esthétique du luminaire dans L'Art Vivant, n. 143, 1er mars 1930, Paris, p. 942 ;
Jean-François Archieri, Jacques Le Chevallier, la lumière moderne, id., p. 110-113
Ce modèle s'appuie sur celui de l'applique à peigne n. 52 datant de l'année précédente. Koechlin découvre alors les possibilités techniques qu'offrent l'utilisation d'une scie à ruban à découper le métal. Facilitant les découpes, elle permet la création du principe des dents, qui associées aux parties pleines des parois, diffusent une lumière douce et scintillante, tout en revêtant un caractère plastique d'autant plus marqué que ces découpes sont laissées à l'état brut.
Le prototype du plafonnier est mis en chantier fin juin 1929. Il ne sera exposé ni au Salon d'Automne ni chez D.I.M. pour des raisons pratiques de présentation. C'est l'article d'Ernest Tisserand, L'Esthétique du luminaire, dans l'Art Vivant, décembre 1930, qui révèlera le modèle au public en ces termes : "...des artistes raffinés demandent au métal et aux formes mécaniques des lampes, des appliques et des lustres où l'on ne sait si l'étrange ou la logique dominent, mais qui ont du chien (Le Chevallier et Koechlin)", ajoutant encore "L'homme de goût pose sur sa table une lampe Perzel ou de Le Chevallier. A défaut, il s'éclaire avec une lampe d'architecte aux bras articulés."
Jean-François Archieri, Jacques Le Chevallier, la lumière moderne, id., p. 110-113
Ce modèle s'appuie sur celui de l'applique à peigne n. 52 datant de l'année précédente. Koechlin découvre alors les possibilités techniques qu'offrent l'utilisation d'une scie à ruban à découper le métal. Facilitant les découpes, elle permet la création du principe des dents, qui associées aux parties pleines des parois, diffusent une lumière douce et scintillante, tout en revêtant un caractère plastique d'autant plus marqué que ces découpes sont laissées à l'état brut.
Le prototype du plafonnier est mis en chantier fin juin 1929. Il ne sera exposé ni au Salon d'Automne ni chez D.I.M. pour des raisons pratiques de présentation. C'est l'article d'Ernest Tisserand, L'Esthétique du luminaire, dans l'Art Vivant, décembre 1930, qui révèlera le modèle au public en ces termes : "...des artistes raffinés demandent au métal et aux formes mécaniques des lampes, des appliques et des lustres où l'on ne sait si l'étrange ou la logique dominent, mais qui ont du chien (Le Chevallier et Koechlin)", ajoutant encore "L'homme de goût pose sur sa table une lampe Perzel ou de Le Chevallier. A défaut, il s'éclaire avec une lampe d'architecte aux bras articulés."