拍品專文
"Le truc, c'est que j'étais allé à Paris. J'avais vu les Nymphéas de Monet. En fait, j'ai commencé à exposer à Paris en 1970. J'ai donc visité tous les musées, exploré toutes les rues, et j'ai compris ce qu'était 'l'atmosphère' - en fait, c’était une époque où l’on appelait les peintures 'atmosphère'. La coulure et le pliage, la séparation de la peinture et du liquide, ainsi que l’aspersion sur la toile pliée, ont tous conduit à cet effet de sédimentation. Mais lorsque vous dépliez la peinture sur le sol, c'était une simple feuille, et tous ces procédés ont créé un rythme. "
"The thing was, I'd gone to Paris. I'd seen Monet's Water Lilies. In fact, I started showing in Paris in 1970. So, I saw every museum, everything in the streets, and I knew what the atmosphere was - in fact, those were times of naming paintings 'atmosphere'. The pouring and the folding, the separation of the paint and the liquid, together with the sprinkling of the canvas when folded all led to this effect of sedimentation. But when you unfolded the painting on the floor, it was a sheet, and these processes created a rhythm."
Sam Gilliam