Lot Essay
Cf. : Léon Deshairs, Le XIVème Salon des Artistes Décorateurs dans Art et Décoration, 1924, id., p. 179 pour une vue in situ dans un salon aménagé par Pierre Chareau, parmi des sculptures de Jacques Lipchitz et des tapis d'Eileen Gray ;
Maurice Dufrêne, Ensemble mobilier n. 3, dans Exposition Internationale de 1925, éditions Charles Moreau, Paris, 1925, pl. 32 pour la photographie sus-citée ;
Léon Deshairs, L'Art Décoratif français, deuxième série, éditions Albert Lévy, Paris, 1925, p. 23 ;
Les Arts de la Maison, été 1926, éditions Albert Morancé, Paris, pl. 29 pour une vue d'intérieur dans l'appartement de M. Lanique présentant ce modèle ;
Pierre Chareau architecte dans L'Architecture d'Aujourd'hui, n. 7, juillet 1937, Paris, p. 20 ;
Pierre Chareau, catalogue d'exposition, Centre Georges-Pompidou, 2 novembre 1993-17 janvier 1994, Paris, p. 139
Ce modèle sera présenté à l'Exposition Internationale des Arts Décoratifs en 1925 à Paris.
Pierre Chareau appliquera ce principe du déploiement en éventail aussi bien pour ses aménagements intérieurs que pour son mobilier. Il l'inaugure dans le boudoir qu'il expose en 1923 au Salon d'Automne, pour le décliner ensuite dans le petit salon de l'appartement Lanique, 1924, le bureau-bibliothèque d'une Ambassade franaise, exposé lors de l'Exposition Internationale de 1925, le bar du Grand Hôtel de Tours, puis dans de nombreuses réalisations postérieures. Le critique Ernest Tisserand rappelle dans L'Art Vivant du 15 février 1926 que 'Pierre Chareau excelle à tirer partie des entrées. Il en isole toujours quelque coin par une porte en éventail, derrière laquelle on trouve un toilette, une bibliothèque, une armoire utile. Il existe de lui une petite table à plusieurs pans, qui est à la table gigogne de nos grands-mères ce que le charleston est au boston. On aimera la retrouver dans bien des entrées, surmontée ou non du téléphone, qui abrège les distances en usant les nerfs.'
Les publications d'époque laissent à penser que la table éventail apparaçt pour la première fois en 1924. Elle peut comporter de 2 à 4 volets. Notre modèle en est une variante destinée à recevoir le téléphone.
Maurice Dufrêne, Ensemble mobilier n. 3, dans Exposition Internationale de 1925, éditions Charles Moreau, Paris, 1925, pl. 32 pour la photographie sus-citée ;
Léon Deshairs, L'Art Décoratif français, deuxième série, éditions Albert Lévy, Paris, 1925, p. 23 ;
Les Arts de la Maison, été 1926, éditions Albert Morancé, Paris, pl. 29 pour une vue d'intérieur dans l'appartement de M. Lanique présentant ce modèle ;
Pierre Chareau architecte dans L'Architecture d'Aujourd'hui, n. 7, juillet 1937, Paris, p. 20 ;
Pierre Chareau, catalogue d'exposition, Centre Georges-Pompidou, 2 novembre 1993-17 janvier 1994, Paris, p. 139
Ce modèle sera présenté à l'Exposition Internationale des Arts Décoratifs en 1925 à Paris.
Pierre Chareau appliquera ce principe du déploiement en éventail aussi bien pour ses aménagements intérieurs que pour son mobilier. Il l'inaugure dans le boudoir qu'il expose en 1923 au Salon d'Automne, pour le décliner ensuite dans le petit salon de l'appartement Lanique, 1924, le bureau-bibliothèque d'une Ambassade franaise, exposé lors de l'Exposition Internationale de 1925, le bar du Grand Hôtel de Tours, puis dans de nombreuses réalisations postérieures. Le critique Ernest Tisserand rappelle dans L'Art Vivant du 15 février 1926 que 'Pierre Chareau excelle à tirer partie des entrées. Il en isole toujours quelque coin par une porte en éventail, derrière laquelle on trouve un toilette, une bibliothèque, une armoire utile. Il existe de lui une petite table à plusieurs pans, qui est à la table gigogne de nos grands-mères ce que le charleston est au boston. On aimera la retrouver dans bien des entrées, surmontée ou non du téléphone, qui abrège les distances en usant les nerfs.'
Les publications d'époque laissent à penser que la table éventail apparaçt pour la première fois en 1924. Elle peut comporter de 2 à 4 volets. Notre modèle en est une variante destinée à recevoir le téléphone.