Lot Essay
En 1822, grâce à une pension de deux ans attribuée par la Société pour l’Encouragement des Beaux-Arts de Bruxelles, Frans Vervloet quitte la Belgique pour l’Italie. La première étape de son voyage est Paris où sa présence est signalée au cours de l’été. A cette occasion, il exécute la vue du Parvis de l’église de Saint-Germain-des-Prés (lot 50), qu’il cédera au grand mécène amstellodamois, M. Roothaan. Selon une inscription reportée au verso, l’on voit sur le tableau, à droite du porche de l’église, l’entrée de l’atelier du sculpteur François Joseph Bosio (1768-1845).
Après un séjour prolongé à Naples, où son œuvre s’est enrichie des enseignements naturalistes de l’école de Pausilippe, Frans Vervloet découvre Venise. Dès 1834 et à plusieurs reprises, il explore la Sérénissime dont Le Pont des Soupirs (lot 51) influencé par la tradition de la veduta napolitaine, et Un cardinal en prière dans l’église Saint-Sébastien de Venise (lot 52) sont les témoignages. Sous le charme de la cité, il finira d’ailleurs par s’y installer définitivement en 1854.
Après un séjour prolongé à Naples, où son œuvre s’est enrichie des enseignements naturalistes de l’école de Pausilippe, Frans Vervloet découvre Venise. Dès 1834 et à plusieurs reprises, il explore la Sérénissime dont Le Pont des Soupirs (lot 51) influencé par la tradition de la veduta napolitaine, et Un cardinal en prière dans l’église Saint-Sébastien de Venise (lot 52) sont les témoignages. Sous le charme de la cité, il finira d’ailleurs par s’y installer définitivement en 1854.