Lot Essay
Sylvie Buisson a confirmé l'authenticité de cette œuvre.
.jpg?w=1)
Nu allongé
Details
Léonard-Tsuguharu Foujita (1886-1968)
Nu allongé
signé et signé de nouveau en japonais 'Foujita' (en bas à gauche)
graphite, estompe et aquarelle sur papier calque préparé marouflé sur papier
54.6 x 104.8 cm.
Exécuté en 1930
signed and signed again in Japanese 'Foujita' (lower left)
pencil, estompe and watercolour on prepared tracing paper laid down on paper
21 5/8 x 41 ¼ in.
Executed in 1930
Nu allongé
signé et signé de nouveau en japonais 'Foujita' (en bas à gauche)
graphite, estompe et aquarelle sur papier calque préparé marouflé sur papier
54.6 x 104.8 cm.
Exécuté en 1930
signed and signed again in Japanese 'Foujita' (lower left)
pencil, estompe and watercolour on prepared tracing paper laid down on paper
21 5/8 x 41 ¼ in.
Executed in 1930
Provenance
Collection particulière, France.
Bouquinerie de l’Institut, Paris (acquis auprès de celle-ci).
Acquis auprès de celle-ci par le propriétaire actuel.
Bouquinerie de l’Institut, Paris (acquis auprès de celle-ci).
Acquis auprès de celle-ci par le propriétaire actuel.
Literature
S. Buisson, T.L. Foujita, inédits, Paris, 2007, p. 390, no. C30.128.D (illustré en couleurs, p. 172).
Exhibited
Paris, Musée Maillol, Foujita, Peindre dans les années folles, mars-juillet 2018, p. 118, no. 71 (illustré en couleurs).
Further Details
"Une idée m’est venue un jour: dans la peinture japonaise, il n’y a qu’un petit nombre de nus. Même les peintres comme Harunobu ou Utamaro ne laissaient entrevoir qu’une partie de la jambe ou du genou et ne pouvaient exprimer la sensation de la peau qu’à ces seuls endroits. Voilà qui m’a encouragé à recommencer le nu après huit ans d’interruption, avec comme objectif précis de représenter la qualité de la matière la plus belle qui soit : celle de la peau humaine".
"An idea came to my mind one day: in Japanese painting, there is a very small number of nudes. Even painters the likes of Harunobu or Utamaro showed only part of the leg or knee and they could only convey the sensation of skin of those precise areas. This is what triggered me to work again on nudes after an eight-year-long break, with the sole objective to represent the quality of the most beautiful texture possible: that of human skin".
Foujita, ’17 ans en France’, in Album de Tsuguharu Foujita, Tokyo, 1929, cité in cat. exp., Foujita: peindre dans les années folles, Paris, Musée Maillol, 2018, p. 119.
"An idea came to my mind one day: in Japanese painting, there is a very small number of nudes. Even painters the likes of Harunobu or Utamaro showed only part of the leg or knee and they could only convey the sensation of skin of those precise areas. This is what triggered me to work again on nudes after an eight-year-long break, with the sole objective to represent the quality of the most beautiful texture possible: that of human skin".
Foujita, ’17 ans en France’, in Album de Tsuguharu Foujita, Tokyo, 1929, cité in cat. exp., Foujita: peindre dans les années folles, Paris, Musée Maillol, 2018, p. 119.
Brought to you by
Anika Guntrum