拍品專文
La veuve Duvinage prend la direction de la maison Duvinage a la mort de son mari Pierre- Ferdinand Duvinage en 1876. La maison Alphonse Giroux est quant a elle reprise des 1867 par Duvinage, dépositaire du brevet d’invention de la technique de l’ivoire cloisonné.
Cette solution est brevetée le 6 mai 1874 comme « un genre de marqueterie de mosaique a cloisonnement métallique pour meubles et objets d’art ». Plus concretement, cela consiste en « la réunion combinée de l’ivoire comme fond, du bois, teint ou exotique, pour les dessins ou ornements et du cuivre ou autre métal pour cloisonner les fragments d’ivoires ». La production Duvinage acquit en notoriété suite a la mise en avant de ces objets uniques pour la premiere fois a l’Exposition universelle de Paris de 1878. Alliant un certain éclectisme des formes néo-Louis XIII et néo-Louis XIV a un décor japonisant comme l’illustre le miroir de table (lot 84) ornée d’un oiseau inscrit dans des feuillages, la maison de Duvinage a su séduire le public, obtenant ainsi un vif succes commercial via de nombreuses commandes. Le dépôt d’un deuxieme brevet en juin 1877 par la veuve Duvinage illustre bien ce succes et prouve qu’elle désirait protéger son entreprises des copies, tout en perpétuant la production.
Cette solution est brevetée le 6 mai 1874 comme « un genre de marqueterie de mosaique a cloisonnement métallique pour meubles et objets d’art ». Plus concretement, cela consiste en « la réunion combinée de l’ivoire comme fond, du bois, teint ou exotique, pour les dessins ou ornements et du cuivre ou autre métal pour cloisonner les fragments d’ivoires ». La production Duvinage acquit en notoriété suite a la mise en avant de ces objets uniques pour la premiere fois a l’Exposition universelle de Paris de 1878. Alliant un certain éclectisme des formes néo-Louis XIII et néo-Louis XIV a un décor japonisant comme l’illustre le miroir de table (lot 84) ornée d’un oiseau inscrit dans des feuillages, la maison de Duvinage a su séduire le public, obtenant ainsi un vif succes commercial via de nombreuses commandes. Le dépôt d’un deuxieme brevet en juin 1877 par la veuve Duvinage illustre bien ce succes et prouve qu’elle désirait protéger son entreprises des copies, tout en perpétuant la production.